Chronomundi - Blog voyages tour du monde et expatriation

Qui sommes-nous ?

Hello à tous et bienvenue sur notre blog ! 👋

Nous sommes Marjo & Bastien, aventuriers dans l’âme, bons vivants, curieux et passionnés par un tas de choses ! Nous sommes tombés ensemble dans la marmite du voyage quand nous avions 22 ans (c’était en 2007).

À cette époque-là, nous avons décidé de partir au bout du monde, en Nouvelle-Zélande, pour vivre une expérience de plusieurs mois avec un VVT (Visa Vacances Travail). Pour ma part (Marjo), c’était la toute première fois que je prenais l’avion, mais mieux vaut tard que jamais !
Et c’est pas rien, les gars, un voyage pareil, j’avais pas eu l’occasion de beaucoup sortir de ma cambrousse auparavant.

Mais c’est pourtant là que tout a démarré. 🚀

Un tour du monde de 1 an

Nous avons lancé notre blog lors de notre départ en tour du monde en septembre 2014. Nous avons choisi de partager nos aventures à travers le monde par le biais de récits, de conseils destinés à de futurs voyageurs et de photos dignes de véritables non professionnels. 😆


Même si cela paraît anodin pour bon nombre de grands voyageurs, décider de partir faire le tour du monde pendant 1 an, ce n’est pas rien pour la plupart des gens. De notre côté, ce voyage représente évidemment l’un de nos rêves les plus fous, le rêve d’une vie.

Mais nous sommes aussi sûrs d’une chose, nous avons encore plein d’autres projets à réaliser.

L’objectif de notre blog : raconter et partager

Moi, ce que j’aime, c’est écrire. Raconter et partager. Et il paraît que je vous fais même rire de temps en temps. Alors, c’est gagné pour moi. 🤗

C’est pourquoi, ici, vous trouverez de l’authenticité. Des récits de voyages vécus et écrits avec le goût de l’aventure. Des conseils de voyages et des bons plans pour de futurs baroudeurs que nous avons déniché nous-mêmes grâce à notre expérience (professionnelle et personnelle).

Pas de blabla, pas de bullshit. De la franchise, de l’humour, de la good vibe. Parce que c’est ce que nous sommes.

Bastien et Marjo dans les rues de Lisbonne avec un mojito

Notre vision du voyage

Si je suis convaincue d’une chose, c’est bien celle-ci : la façon de voyager est véritablement propre à chaque voyageur. Il existe autant de façon de voyager que de voyageurs.

Nous, ce qu’on aime, c’est ressentir le frisson de l’aventure. Découvrir l’inconnu. Explorer des lieux sauvages.

On adore voyager en van et nous arrêter dans des spots trop cool, seuls au monde. On adore faire du bivouac en montagne et admirer les paysages et les grands espaces. On adore louer des scooters et partir sur les routes d’un pays en totale autonomie. On adore se retrouver au beau milieu d’une métropole tentaculaire et de devoir en comprendre le fonctionnement.

Mais surtout, ce qui nous a fait vibrer pendant notre tour du monde, et ce qui a vraiment marqué nos mémoires, ce sont toutes les fois où on s’est surpassés. Ces fois où on s’est demandé : tu crois qu’on peut le faire ? Ok go, ça se tente ! 😎

Je repense à forcément aux treks en autonomie comme les 7 jours au Pérou permettant de relier les ruines du Choquequirao au Machu Picchu ou encore les 4 jours sur le Santa Cruz dans la Cordillère Blanche où nous avons grimpé jusqu’à 4 650 m d’altitude.

Je repense aussi à des expériences de survie comme nous l’avons vécu dans la jungle amazonienne. Ou encore à cette chasse aux spots de tournage du Seigneur des Anneaux en Nouvelle-Zélande, nous obligeant parfois à passer avec notre van dans des zones très difficiles d’accès.

Je suis heureuse quand je sors mon sac à dos et mes chaussures de randonnée. J’aime être minimaliste quand je voyage et me dire que finalement, peu de choses nous sont vraiment indispensables.

Nos parcours professionnels

Dis, on fait quoi dans la vie ?

Avant notre tour du monde

À la suite de notre tout premier voyage au bout du monde en 2007, j’ai décidé de reprendre mes études et de me former en tourisme. C’est alors devenu une évidence, j’avais trouvé ma voie.

Je suis devenue conseillère en voyages, métier que j’ai exercé avec passion pendant 5 ans. C’était génial car au-delà de mettre chaque jour un pied virtuel quelque part dans le monde, j’ai aussi eu la chance de réaliser des voyages professionnels (qu’on appelle éductours dans le métier) très chouettes.

Bastien, quant à lui, c’est l’informatique qui le motive. Pendant que je fais voyager les gens à travers le monde depuis mon bureau, il suit son cursus en école d’ingénieur pour devenir software engineer. 🤓

La fin des études de Bast a marqué le début de ce projet un peu fou : partir faire le tour du monde pendant 1 an. Nous avons alors tout plaqué pour partir. J’ai vendu ma voiture, j’ai démissionné, on a rendu notre appart’…

Elle est pas belle la vie ? 😅

Marjo et Bastien - Plage de Martinique

Après notre tour du monde

Après notre fantastique tour du monde, le retour à la réalité s’est installé très très rapidement.

J’ai retrouvé du travail avant même de rentrer en France. Un entretien d’embauche au téléphone depuis le Brésil, et c’était réglé. Tout s’est enchaîné à une vitesse folle, si bien que nous n’avons pas eu le temps de ressentir le “blues du retour” dont de nombreux voyageurs au long cours sont victimes.
Enfin… C’est ce que je croyais… Mais je vous explique ici en détail mon état d’esprit de ces dernières années face à mon tour du monde.

Nous avons retrouvé des situations professionnelles et financières meilleures que celles que nous avions laissées. Tout cela nous confortait bien dans l’idée que nous avions eu raison de tout plaquer pour réaliser notre rêve.

À l’aube de mes 30 ans, j’ai eu la chance de prendre le poste de responsable de formation en tourisme. Et je peux vous dire, que quand vous revenez d’un tour du monde, vous êtes plutôt crédible auprès des élèves futurs conseillers voyages. 😅
En général, c’est une info que je ne criais pas sur tous les toits, mais il ne fallait pas longtemps pour que mes élèves me trouvent sur Internet 😅.
Ouais, quel prof n’a jamais été stalké par ses élèves franchement ?

Marjorie, on a vu que vous avez mangé une tarentule !!

Quant à Bastien, il a trouvé un job d’ingé développeur dans une start-up au bout de quelques mois. Entreprise qu’il a quittée au bout de 2 ans pour évoluer dans une autre start-up dont les salariés sont tous 100 % en remote working depuis n’importe où dans le monde.

Bastien s’épanouit en télétravail et s’éclate dans sa boîte. De mon côté, ça fera bientôt 5 ans que j’enseigne le tourisme et je commence à sentir une certaine lassitude.
On me propose une évolution de carrière que je refuse. Une intuition me pousse à partir vers d’autres horizons professionnels.

Et j’ai eu le nez fin.
Sans le savoir, je venais de quitter le monde du tourisme 2 mois avant le début de la pandémie de Covid-19.
Bon timing.

Aujourd’hui, je travaille sur le Web, à 100 % en télétravail et en tant que freelance. Depuis 2019, je suis rédactrice web, je fais de la stratégie de contenus SEO (Search Engine Optimization) et je propose aussi des prestations de relecture-correction.

Et c’est la grosse éclate !

Mais alors, pourquoi sommes-nous des digital nomads sédentaires ?

Le remote working, c’est le pied. En tout cas, pour nous, c’est une parfaite réussite. Ça nous correspond à 100 %. Aucun de nous n’a de contraintes d’horaires. Nous bénéficions d’une souplesse et d’un confort de travail qui nous permettrait de pouvoir voyager partout dans le monde tout en travaillant.

En mode digital nomad quoi.

Mais alors, pourquoi sommes-nous encore sédentaires ? Une petite idée ?

Eh bien, si vous n’aviez pas encore deviné, nous sommes devenus parents ! D’un petit garçon prénommé Eliott, né en février 2019, et qui bouscula nos vies comme jamais nous ne l’aurions imaginé.

Et avoir un bébé de 11 mois quand le Covid frappe à la porte du monde début 2020, ça donne moyen envie de vivre sa meilleure vie de digital nomad. En tout cas, pour notre part, ça nous a totalement dissuadé d’imaginer quoi que ce soit.

Donc on est peinards dans notre maison avec le petit. On bosse à la maison, on va chercher le petit le soir. Notre vie est bien tranquille.

Eh bien, devinez quoi ? On s’emmerde à mourir.

Le Covid s’en va (enfin presque). Le petit grandit. Le bout du tunnel s’éclaire enfin. On prend conscience de pas mal de trucs.

Je vais vous dire, j’ai réalisé que cette situation n’était pas du tout la vie dont je rêvais le jour où la maman d’une petite qui est chez la nounou avec Eliott m’a sorti :

Ils n’iront pas dans la même école l’année prochaine, mais ils se retrouveront peut-être au collège !

Quand j’ai réalisé qu’elle me parlait (très gentiment d’ailleurs) d’un événement qui allait se produire dans 7 à 8 ans, je me suis dit que ça n’allait pas du tout.
Je ne me vois pas du tout habiter ici encore pendant autant d’années. Il y a tant de choses à découvrir dans le monde, tant de lieux où je pourrais vivre…

L’angoisse.

Sans le savoir, cette maman m’a fait réaliser que ce que me souffle Bastien dans l’oreillette depuis plusieurs mois est LA solution.

Il nous faut un nouveau projet de vie, un nouveau projet fou, un nouveau big changement.

Un nouveau projet de vie : une expatriation en famille

Nous voici donc aujourd’hui en train de vivre ce projet qui a vu le jour en moins de temps qu’il a fallu pour qu’on réalise vraiment qu’on avait de nouveau tout plaqué.

Vous pouvez découvrir notre nouvelle vie d’expatriés à travers tout un tas de nouveaux articles où je vous raconte nos péripéties (oui, il y en a eu quelques unes des salées…), ainsi que toute l’organisation d’un gros projet comme celui-là.

Car désormais, une nouvelle composante rythme nos vies : ce petit garçon vif comme l’éclair à qui nous voulons transmettre le goût du voyage, de l’ouverture au monde et aux populations et cultures différentes.

Nous vivons désormais à Toronto, au Canada. Et qui sait ce qui nous attend ensuite !…

Mise à jour mars 2024

Oh, j’allais oublier, avez-vous vu notre nouveau webzine voyage et tourisme ? 👀 Faites le plein de bonnes infos et partez à la découverte du monde à travers des articles et reportages originaux !

Instagram
Facebook
Pinterest
fb-share-icon