Lever de soleil sur le volcan Bromo, flammes bleues et porteurs de souffre du volcan Kawah Ijen, les volcans de la partie est de l’île de Java représentent un passage incontournable. Les ascensions bien matinales en valent la peine, les panoramas offerts sont bien plus dingues que l’effort fourni. Probablement les images de paysages volcaniques les plus sensationnelles que nous ayons vues jusqu’à présent. En ce qui nous concerne, que ce soit pour l’ascension du mont Bromo et ou pour la descente dans le cratère du Kawah Ijen, nous n’avons pris aucun guide, ni excursion organisée. En effet, il est possible de tout réaliser par soi-même facilement et pour bien moins cher !
On vous explique en détails notre épisode dans les volcans de Java ! 🌋
Volcan Bromo et parc national du Bromo-Tengger-Semeru
Remise sur pieds après le fâcheux épisode précédent à Yogyakarta, c’est avec beaucoup d’excitation que nous partons en direction des volcans Bromo et Kawah Ijen qui occuperont nos 2 prochaines journées.
Nous nous dirigeons donc vers l’est de l’île de Java, la partie volcanique.
Comment aller au volcan Bromo : village de Cemoro Lawang
Depuis Yogyakarta, c’est simple, nous passerons toute la journée dans le bus jusqu’à la ville de Probolinggo, pour ensuite terminer par 2 dernières heures de bus en direction de Cemoro Lawang. Nous souhaitions éviter de rester 1 nuit pour rien à Probolinggo qui est une ville sans intérêt particulier.
Le “camp de base” pour pouvoir observer le lever de soleil sur le volcan Bromo sera donc le village de Cemoro Lawang. Situé sur le bord du cratère du Tengger, ce village offre une vue spectaculaire sur le Bromo. L’ambiance détendue et la fraicheur du climat (oui, on a ressorti les polaires !) seront bien appréciables après ce voyage interminable depuis Yogyakarta.
Tout le secteur volcanique autour du mont Bromo est l’un des sites les plus impressionnants du pays. Paysages lunaires au rendez-vous, le volcan Bromo est l’un des 3 volcans qui ont émergé d’un cratère de 10 km de diamètre. En toile de fond, on aperçoit le volcan Semeru, l’un des plus actifs, le point culminant de l’île de Java.
“Voir le volcan Bromo, c’est un peu comme entrer dans un conte fantastique. L’immensité de la caldeira, la beauté surnaturelle du paysage et la lumière irréelle projetée sur ces hauteurs semblent relever du rêve”.
Description du volcan Bromo dans le Lonely Planet.
Eh bien, je dois dire, qu’en effet, on est plutôt proche de cette description.
Pour profiter de ces vues spectaculaires, il y a 2 choses à faire :
- L’ascension très matinale du Gunung Penanjakan pour admirer le lever du soleil sur les volcans Bromo (2 392 m), Kursi (2 581 m), Batok (2 440 m) et Semeru (3 676 m).
- L’ascension du volcan Bromo en lui-même jusqu’au cratère fumant.
1. Lever de soleil sur le volcan Bromo : Ascension du Gunung Penanjakan
Depuis le petit village de Cemoro Lawang, 2 options s’offrent à vous : grimper à pied ou vous y faire amener en 4×4.
Dans les 2 cas, le réveil sera matinal ! Eh oui, même si la grimpette est plutôt une balade en pente douce, il faut prévoir d’arriver en haut avant que le soleil soit levé. Et le soleil, ici, il pointe son nez vers 5 h 30 les amis !
Les excursion en 4×4 partent vers 3 h 30 – 4 h du mat’. Pour monter à pied (ce que nous avons fait, vous vous en doutez), il faut partir vers 3 h pour être sûr d’y être un peu à l’avance.
C’est une belle rando nocturne de 1 h 30 – 2 h qui vous attend alors. N’oubliez pas vos lampes frontales, vous partirez dans la nuit noire. D’ailleurs, vous êtes aussi sensé arriver encore dans la nuit. Mais pas de panique, il n’y a qu’une route, aucune question à se poser et aucun moyen de se perdre !
Une fois en haut, le spectacle est époustouflant. Les premières lueurs du soleil pointent leur nez et au fur et à mesure que l’astre s’élève, il répand une lumière chaude et presque irréelle sur les volcans. On se sent tout petit.



2. Ascension du volcan Bromo jusqu’à son cratère fumant
Après avoir pris une énorme claque par la beauté du panorama, il faut redescendre. Une fois en bas, vous pouvez alors vous diriger vers le volcan Bromo pour le voir de plus près et lui faire un p’tit check amical (promis, il se réveillera pas). Un itinéraire de 3 km depuis le village de Cemoro Lawang vous permet de regagner le mont Bromo en traversant la “Laotian Pasir” (mer de sable gris volcanique) jusqu’à l’un des versants du volcan. Des repères en pierres blanches vous indiquent le chemin et des marches en pierre ont été aménagées pour accéder aux entrailles sulfureuses et fumantes du volcan.

Malheureusement, nous ne ferons pas l’ascension sur le mont Bromo. Il se trouve que l’infection à ma cheville me fait encore souffrir. Je préfère donc me ménager parce que demain matin, l’ascension du volcan Kawah Ijen nous attend.
Du coup, n’hésitez pas à me dire en commentaires si j’ai raté quelque chose de dingue et d’incroyable (mais je vous en voudrais à mort de me dire ça). 🫢
Volcan Bromo : infos pratiques
- Trajets : depuis Yogyakarta vers Cemoro Lawang.
- Passe par Probolinggo.
- Environ 12 h de trajet au total.
Où dormir pour visiter le volcan Bromo ? À Cemoro Lawang ! Vous y trouverez plusieurs petites auberges. Ne vous attendez pas à du grand luxe, il s’agit d’un tout petit village et franchement, pour se lever à 2 h du mat’, on voulait vraiment pas mettre cher. Nous dormirons donc dans une chambre toute simple, qui sent l’humidité, avec toilettes et salle de bain à l’hygiène douteuse, au fond du couloir. 😅
Excursion volcan Bromo en 4×4 : à négocier auprès de votre hébergement. Essayez de former un groupe avec d’autres voyageurs pour diviser le coût de la voiture. Mais ça reste cher et la balade à pied n’est vraiment pas difficile.
- Lampe indispensable !
- Polaire ou coupe-vent également !
- Les matinées sont bien fraiches, avec des températures parfois proches de zéro.
- Les guesthouses louent des blousons si vous n’aviez pas prévu.
💡 Pensez à jeter un œil à notre article complet bilan et budget de 2 mois passé en Indonésie. On y détaille notre itinéraire, les prix, les hébergements, les transports, les visites, etc.

Volcan Kawah Ijen : du souffre et des flammes bleues
En milieu de journée, journée déjà bien entamée puisque nous sommes debout depuis 2 h 30 du matin, direction le Kawah Ijen ! Nous passerons la nuit dans une auberge proche du volcan pour y grimper dès demain matin.
Après 2 h de route, le bus que nous prenons à Cemoro Lawang, nous dépose à Probolinggo. Dans une agence, nous réservons un transport pour nous emmener jusqu’à Pos, le dernier petit village le plus proche du Kawah Ijen.
Après 5 h de route, notre minivan s’arrête devant une guesthouse dans le village de Sempol. Grrrr !! On comprend vite qu’il ne nous emmènera pas jusqu’à Pos ce soir. Il veut qu’on dorme ici, dans cette auberge, pour qu’il puisse percevoir une commission reversée par cette auberge. Aaaaah, c’est bien ficelé hein ! Bien sûr, nous râlons et nous énervons contre ces procédés qui commencent à nous excéder. Mais que faire ? On ne va pas faire remonter le chauffeur de force dans son minivan !
Nous n’avons pas d’autres choix que de rester ici. Nous négocions âprement le prix de la chambre et le chauffeur nous promet de nous emmener jusqu’au Kawah Ijen à la première heure demain matin.
Le plateau d’Ijen
Le plateau d’Ijen est une vaste zone volcanique dominée par 3 volcans :
- L’Ijen (2 368 m),
- le Merapi (2 800 m),
- le Raung (3 332 m).
Cette région est faiblement peuplée et parsemée de plantations de café. On y trouve quelques villages isolés accessibles par des routes en mauvais état. C’est vous dire l’ambiance plutôt calme qui y règne.
Si on vient ici, c’est pour effectuer la randonnée jusqu’au spectaculaire lac de souffre turquoise du cratère du Kawah Ijen culminant à 2 148 m d’altitude.

Au bord du lac, des émanations sulfureuses s’échappent de la cheminée du volcan et l’eau bouillonne quand l’activité s’intensifie. C’est le lac le plus acide du monde, avec un PH proche de 0,2. Autant vous dire que ce n’est pas un paisible petit lac de montagne. Un doigt dedans et vous perdez votre doigt. Rapide, efficace.
L’Ijen est un centre important de collecte de souffre, vous croiserez beaucoup de porteurs de souffre en chemin. Beaucoup vous demanderont quelques pièces ou une cigarette en échange d’une photo. Oui, hein, on n’est pas au zoo.

L’ascension du Kawah Ijen sans guide…
Le programme est raide :
- 1 h 30 du mat’ : le réveil sonne ! Aouch !
- 2 h : départ de l’auberge,
- 2 h 45 : arrivée au Kawah Ijen,
- 3 h : début de l’ascension. En route mauvaise troupe ! Il faut redescendre dans le cratère avant le lever du jour pour pouvoir observer les flammes bleues (sinon, c’est cuit).
Tout d’abord, il faudra vous acquitter de la somme de 100 000 roupies pour pouvoir entrer sur le volcan.
Comme nous n’avons pas pris d’excursion organisée ni de guide, nous nous engageons dons seuls en direction du cratère. Même s’il fait nuit noire, notre lampe nous suffit pour trouver le chemin, c’est facile, il n’y en a qu’un !
…Mais avec un porteur de souffre
Sur le chemin, nous rencontrons un porteur de souffre, Eko. Il monte avec nous et engage la conversation. On lui sort les quelques phrases en Indonésien que nous avons appris (ça nous aide beaucoup parfois), ça le fait beaucoup rire et à son tour, il s’essaye en français. Nous parlons beaucoup, tout le long de l’ascension. Il nous parle de sa famille, de son travail. Il est donc porteur de souffre, ça veut dire que tous les jours sans exception, il grimpe sur le volcan, il descend jusqu’au cratère, remplit ses paniers de souffre, remonte en haut du cratère et redescend les parois du volcan. 2 allers-retours dans la journée et près de 6 heures pour remonter… Les paniers qu’il porte sur ses épaules pèsent entre 80 et 110 kg. Je vous laisse imaginer le calvaire que c’est.


Ils sont quelques 300 porteurs à faire ça tous les jours. Ils se lèvent à 3 h du matin pour aller collecter à la main le souffre du cratère.
Ce travail exténuant est très mal payé, environ 700 roupies le kilo (0,05 €), soit en moyenne 4,5 € par trajet.
Ils n’ont parfois pas de masque à gaz, mais un simple foulard en coton pour se protéger des émanations toxiques et des vapeurs difficilement respirables. Leur espérance de vie en est bien réduite.
La randonnée sur le volcan Kawah Ijen
La randonnée sur le volcan Kawah Ijen compte 3 km de grimpée abrupte sur le flan du volcan, soit environ 1 h – 1 h 30. Puis s’ensuivent 30 minutes de plat pour atteindre le bord du cratère. D’ici, le point de vue est fantastique.
Ensuite, un chemin très pentu et caillouteux descend à l’intérieur du cratère jusqu’aux dépôts de soufre et au lac fumant (30 minutes de descente). Le sentier est glissant par endroit.
C’est en bas qu’il faut se protéger des émanations de souffre très irritantes pour les yeux et les voies respiratoires. Les poumons brûlent et les yeux piquent. Il faut faire attention, car si le vent souffle dans votre direction, vous pouvez être pris dans un nuage de souffre et un simple mouchoir ne vous protègera pas suffisamment.
Eko nous accompagne jusqu’en bas, il nous prête même des masques à gaz. Je dois avouer que nous étions quand même bien contents de les avoir, nous donnerons une participation à Eko pour son aide et sa compagnie.
Comptez environ 45 minutes pour remonter en haut du cratère avec les premières lueurs du jour (ça peut bouchonner s’il y a du monde !), et une petite heure pour redescendre jusqu’au pied du volcan.


Les flammes bleues du Kawah Ijen
Outre les porteurs de souffre, le volcan Kawah Ijen est aussi célèbre pour ces flammes bleues. Lorsqu’il fait encore nuit noire, les flancs du cratère sont illuminés par des coulées de lave émettant d’étonnantes flammes bleues. Parfois, vous pourrez lire que le Kawah Ijen renvoie de la lave bleue. C’est faux, bien sûr. La couleur ne provient pas de la lave en tant que telle, mais des vapeurs de soufre qui s’échappent du cratère du Kawah Ijen avec une température au-delà des 200 °C. Lorsqu’ils s’enflamment la nuit, les gaz produisent des flammes d’un bleu électrique pouvant s’élever jusqu’à 5 mètres de hauteur. Les flancs du volcan prennent alors un aspect spectral tout à fait irréel.

Volcan Kawah Ijen : infos pratiques
- Trajets : depuis Cemero Lawang, prendre un bus jusqu’à Probolinggo : 2 h de route, 35 000 roupies (ou 45 000 si le minibus n’est pas plein…).
- Probolinggo – Sempol : 5 h de route. 200 000 roupies.
- Sempol – Kawah Ijen : environ 45 min de route accidentée.
- Nuit à Sempol à l’auberge Kartimore à 160 000 roupies la nuit (négociés âprement). Attention, les autres clients payaient 200 000 roupies ! Nous avons réussi à négocier le prix puisqu’à la base nous voulions aller directement jusqu’à Pos et pas du tout dormir dans cette auberge. Méfiez-vous des agences vous vendront du rêve avec cet hébergement. Ils vous diront qu’il y a des sources chaudes, une piscine, le petit déj inclus, etc. Alors, la piscine est froide et sale et les “sources chaudes”, c’est un espèce de jacuzzi qui n’était même pas en fonctionnement.
- Le repas du soir coûte 60 000 roupies et vous n’aurez pas le choix de manger ailleurs.
- Enfin, le petit déjeuner, ne vous attendez pas un repas de champion, ça sera un café, un œuf dur et 2 tranches de pain de mie. Prévoyez alors quelques biscuits ou fruits pour ne pas monter le ventre vide et reprendre des forces une fois au sommet.
- Entrée sur le volcan Kawah Ijen : 150 000 roupies.
- Ne pas oublier les lampes frontales
- Comment s’habiller pour le volcan Kawah Ijen ? Prévoir des vêtements de randonnée et de quoi se couvrir, même si le climat est beaucoup plus doux qu’au Bromo.
ℹ️ Edit 2022 : Les tarifs du transport et de l’hébergement datent de notre tour du monde en 2015. Je n’ai pas trouvé de source fiable pour les mettre à jour. Les prix se négociant souvent sur place… Toutefois, le prix de l’entrée sur le Kawah Ijen est bien à jour.
Après la découverte de ces magnifiques volcans, dont l’incroyable volcan Bromo, le moment est venu pour nous de quitter l’île de Java pour continuer notre périple sur Bali. Nous aurons la chance d’aller retrouver un ami qui vit à Bali depuis 5 ans. Pour nous, cette île sera synonyme de vacances puisque nous allons y faire une longue pause de près d’1 mois. On vous emmènera au paradis des Gili Islands pendant ces petites vacances. Cette dernière étape indonésienne marquera aussi la fin de notre voyage en Asie du Sud-Est après 7 mois de vadrouille sur ce continent. Nous regagnerons alors la Nouvelle-Zélande ! 💚



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Top Top Top
Bonjour, J’ai bien aimée lire ton article très complet. Par contre, où pouvons nous avoir des masques à gaz ? Eko vous en a fournit mais je ne pense pas qu’on va le rencontrer…
Bonjour Elodie, certains porteurs peuvent en fournir, comme le nôtre. Ils en gardent sur eux au cas où ils guideraient certaines touristes et que ceux-ci en auraient besoin. En passant par une agence, tu peux également t’assurer que le guide emporte des masques, mais malheureusement, ils ne le font pas toujours. Certaines personnes que l’on a rencontré n’avaient pas de masques compris, alors qu’ils étaient avec un guide… Alors hélas, je n’ai pas vraiment de réponse précise à t’apporter là-dessus… Le mieux étant presque de voir “sur place”… sachant aussi que le port du masque n’est pas complètement indispensable pour descendre dans le cratère.
Bonjour Merci pour tous ces conseils. Nous partons dans 2 semaines et nous avons très envie de voir le Bromo et Ijen. Nous partons avec un enfant de 13 ans. Est ce possible de faire cela avec lui ? Merci pour votre réponse.
Bonjour Sylvie, honnêtement, je pense qu’il n’y aucun soucis pour le faire avec un enfant de 13 ans. Le Bromo est très très accessible à tout le monde, le Kawa Ijen est un peu plus difficile au niveau de la montée (mais très accessible tout de même). C’est juste au niveau des émanations de soufre en bas du cratère que ça peut être un peu pénible (pour les adultes aussi d’ailleurs). Mais s’il a l’habitude de faire des petites randos, pas de problème majeur.
C’est vraiment cool pour les économies réalisées! si c’est faisable sans guide franchement autant en profiter! Vos photos sont magnifiques, c’est vraiment deux lieux à ne pas manquer je pense. Et vous avez été privilégiés de faire ça avec un porteur de souffre! ça donne l’expérience encore plus “réelle” 🙂 Faire les deux sur deux jours : ce n’est pas trop la course? c’est assez pour profiter?
Concernant le “privilège” de le faire avec les porteurs de souffre, s’en est pas vraiment un car en général, il y en aura forcément un qui se proposera de vous accompagner… ce fut notre cas aussi en tout cas…
Je pense que tu peux sans problème faire les 2 en 2 jours. J’avais mon pied encore un peu destroy et pourtant pas de soucis pour la grimpette ! On a eu le sentiment d’avoir bien profité car quand tu te lèves de si bonne heure, les journée sont longues 😉 Rien ne t’empêche de rester une nuit de plus, mais franchement, on en n’a pas ressenti le besoin. Peut être qu’au Bromo ç’aurait été chouette oui, pour le Kawa Ijen, bof. Mais tout est possible 🙂
Merci pour le conseil alors! jme disais justement que ça devait être épuisant avec des journées aussi longues! lool
Très bel article. Nous serons en Indonesie en fin de semaine. Nous arrivons vendredi à Jakarta mais allons filer sur Bali sûrement directement à la place d’aller sur Yogya car ils prévoient des orages, on espère avoir meilleur temps à la fin de notre séjour pour aller sur le Bromo et Ijen. ;).. Merci pour les renseignements 🙂
C’est vrai qu’en ce moment la météo est assez incertaine, il y a de grosses averses les après-midi. J’espère vraiment que vous aurez l’occasion de voir ces 2 volcans, c’était merveilleux. Passez un bon séjour en Indonésie, profitez bien de ce merveilleux pays ! Nous on le quitte quand vous allez arriver…
Ça nous avait en effet coûté 2 fois plus en prenant un tour (sans guide en plus, juste un chauffeur) mais c’était quand même appréciable de pas avoir à se prendre la tête, après avoir bourlingué dans tout Java centre…
C’est vrai que ne pas avoir à se prendre la tête avec les trajets doit simplifier pas mal la tâche même si franchement je m’attendais à ce que ce soit plus galère que ça ! Je suis contente des économies qu’on ait faite car chaque voyageur croisé qui avait pris un guide, l’a finalement regretté en ayant l’impression d’avoir payé pour quelque chose qu’il aurait pu faire seul (et surtout pour le Bromo qui ne comporte absolument aucune difficulté). Certains guides ne fournissent même pas de masques à gaz pour le Kawa Ijen, du coup je ne vois pas bien l’intérêt…
Encore une aventure super a lire! Je vous suit depuis pas mal de temps maintenant, depuis vos aventures thaïlandaises et je ne me lasse jamais de vous lire et de rêver en même temps. Continuez comme ça, votre blog m’inspire beaucoup pour mes prochains voyages et notamment pour notre projet de tour du monde prévu pour courant 2016 (a priori) Bonne continuation, j’ai hate de lire le prochain article ! Laure
Salut Laure, Merci de nous suivre 🙂 ! Si notre blog peut t’aider pour la préparation de ton tour du monde, alors tant mieux, c’est le but ! 🙂 Si tu fais un blog, n’hésites pas à nous donner l’adresse 🙂 on te suivra avec plaisir !
Nous y serons dans un petit mois 🙂 Etes-vous descendus dans le cratère pour voir les flammes bleues ou êtes-vous restés au sommet ?
Hello ! Oui, oui nous somme bien descendus jusqu’au cratère, c’est là que les masques à gaz sont utiles. Les flammes bleues se trouvent au niveau des émanations de souffre, en bas du cratère. Le sommet à lui seul vaut déjà le détour, mais descendre dans le cratère est un must, c’est vraiment impressionnant !